Couleurs Provence

Arroser en été, au matin naissant, interrompre le silence du jardin. Soudain le temps s'arrête.

"L'arrosoir du jardinier provençal peut devenir un bel objet de décoration."

Une décoration chaude et très tendance issue du mariage de deux cultures: le lin et l'olivier.

"Ces deux cultures nobles sont exploité depuis l'antiquité. L'une est provençale, l'autre non, mais leurs couleurs sont très complémentaires."

Trés épaisse, avec un goulot étroit destiné à mieux conserver la fraicheur du liquide en été: La cruche provençale.

"Elle partait au champs, emplie de l'eau fraîche du puit, et traversait les journées caniculaires au plus près de l'agriculteur."

Symbole d'abondance, d'immortalité ou de connaissance, le figuier n'a pas fini de nous surprendre.

"En Provence, avec les feuilles de figues, les anciens préparaient des tisanes efficaces pour la circulation du sang, la digestion, enrayer la toux."

Venue rejoindre  la lavande et l'olivier, la tulipe s'épanouit sur les terres de Provence.

"A chacun sa saison cependant: l'hiver pour l'olivier, le printemps pour la tulipe, l'été pour la lavande."

La compagne des amoureux du thé, toujours prête à livrer ces saveurs si variées venues d'orient.

"Pour le provençal il y a peu de temps encore, ce breuvage et ces ustensiles venus d'ailleurs, paraissaient réservés au gens chics."

Venu de Perse, symbole de l'amour, la tulipe a réussi à faire étape dans la culture de Haute Provence.

"Cette fleur très prisée par les néerlandophones s'épanouit plus rapidement sous le soleil de Provence, une tulipe primeur."

Ecoutez les oiseaux de Provence, ils fêtent et chantent le soleil.

"Le climat généreux de Provence au plus froid de l'hiver accueille une multitude d'oiseaux migrateurs."

Nom d'origine provençale la jarre existe depuis l'antiquité et sert depuis à conserver toute sorte d'aliments et de liquides.

Vous ne pouvez passer par Anduze sans visiter sa bambouseraie ou découvrir ses poteries célébres pour leurs vases.

Les lavandes d'été: ces senteurs fraiches pour parfumer le linge brodé dormant dans les armoires.

"Nos ancêtres, en Provence, parfumaient les armoires et éloignaient les insectes avec la lavande séchée."

Pour la soif: une cruche, pour la gourmandise: une olive, pour le bonheur: du soleil.

Les reflets rouges du coquelicots envahit les paysages de Provence en ces printemps radieux.

"Dans les terres non cultivées intensément le coquelicots tente de nouvelles apparitions."

Les coquelicots envahissent la nature. Dans les champs, autour des cabanons, sur les chemins charretiers le rouge domine. Une ambiance campagnarde féerique.

"Sujet privilégié des peintres de fleurs, le coquelicot s'épanouit au printemps et donne à la campagne une gaîté enfin retrouvée."

Souvent l'iris surligne l'allée de cyprès typiquement provençale de nos jardins sauvages.

"Le cyprès de son côté protège l'iris du mistral, mais également l'ensemble des plantations situées entre ces haies."

Sous la vigne grimpante protégée des piques du soleil la porte de la demeure provençale a toujours des couleurs chaudes et accueillantes.

"Pour rappel: le bleu charette sert à teinter également les volets et les portes. Cette couleur chaude et profonde symbolise la Provence"

La brouette attend que la main de l'homme vienne ramasser les succulentes olives.

"Ce n'est pas tout d'avoir des oliviers, il faut s'en occuper toute l'année."

L'oliveraie est un champs de plantation d'oliviers destinés à la culture de l'olive, ou oléiculture, qui borde les chemins de Provence et côtoie les habitations.

"Les oliveraies des Baux de Provence, célèbre pour ces olives cassée, sont parmi les plus connues et les plus prisées."

Au printemps le coquelicot côtoie gentiment les oliviers centenaires, le mariage est du plus bel effet.

"Si l'agriculteur provençal entretien de trop près ces oliviers vous n'assisterez jamais à ce spectacle magnifique."

Dans ces ruelles étroites des villages de campagne provençaux, la fraicheur demeure et les fleurs s'épanouissent.

"Toutes les informations du jour circule dans la ruelle, chacun à sa fenêtre ou à son balcon commente les nouvelles"